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Témoignages

Pour donner chaud aux coeurs des personnes qui découvrent
ce handicap et qui en sont victimes.
 

En effet, quel soulagement de découvrir que notre fatigue chronique, et autres

ne sont pas dans notre tête, mais ont bien une cause externe :

les champs électriques (BF-Basses Fréquences)

& les ondes électromagnétiques (HF-Hautes Fréquences).

Et que nous ne sommes pas seuls.

Voici différents témoignages que j'ai recueillis au fil de mes bilans.

N'hésitez pas à me contacter si vous voulez également y contribuer !

Vivien - 40ans - cordiste

Challonges, FR

« Nous ne sommes pas au bout de nos peines !  »

Laura - 58ans - consult. RH

Challonges, FR

« Quand les programmeurs des cartes à puces que je recrutais n'avaient pas de téléphone portable, je ne me suis pas posée de questions… »

Maxime - 19ans - étudiant

Gland, CH

« Car pour moi il n’est jamais trop tard pour se protéger et prendre les dispositions nécessaires. »
« Ancienne consultante RH en recrutement dans le bassin alémanique, effectuant mes recherches par appels téléphoniques de 1994 - 200^1 dans le canton de Genève, y compris en utilisant les premières générations de portables (sans oreillettes).

Quand les programmeurs des cartes à puces que je recrutais n'avaient pas de téléphone portable, je ne me suis pas posée de questions…

​

Mon hyper-sensibilité aux ondes artificielles s'est manifestée par des signes clairement ressentis physiquement sous forme d'irritabilité, agressivité, insomnie importante, à partir du déploiement des antennes 4G, 5G. (52 ans au moment des signes de trouble de plus en plus marqués) et cela a pris un virage exponentiel de douleurs variées à la tête, de manque de concentration sérieux et de brouillage de l'esprit en présence de wifi et de portables de dernière génération, dits « smart »​.»​

Laura, Challonges, France

« Technicien cordiste, c’est un métier de travaux sur cordes, d’accès difficiles, en milieu urbain et travaux publics. J’ai fait beaucoup d’interventions sur antennes de téléphonie mobile (non désactivées lors des chantiers).

 

Adulte, j’étais déjà « sensible » aux ondes électromagnétiques et aux champs électriques (maux de tête principalement, je ne me « sens pas bien » à proximité des installations).

 

A l’âge de 28 ans survient une fatigue généralisée, des difficultés de langage, déformation de la langue, puis détection d’une tumeur cérébrale : schwannome vestibulaire, également appelé neurinome de l'acoustique. C’est une tumeur non cancéreuse, d’évolution lente sur plusieurs années, sans facteur déclenchant identifié. Une chirurgie s’est imposée, puis de la radiothérapie ciblée pour stabiliser la tumeur. J’ai une surveillance à vie désormais. »​  -  1/3

Vivien, Challonges, France

Marie Garnier, Paris

« Etudiant au gymnase, j’étais entouré d’écrans tactiles utilisés par les professeurs, en plus des téléphones portables de dernière génération de 20 autres élèves, et le Wi-Fi du bâtiment. 

Une antenne mobile en face de l’établissement, dont je pouvais sentir les effets, même à distance et l’obligation d’utiliser constamment le téléphone pour faire des recherches, n’a fait qu’empirer mon état. 

Je n’en pouvais plus d’avoir à l’utiliser constamment: savoir si les cours étaient annulés, les objectifs pour les tests, les devoirs et les changements de dernière minute. Le fait d’être plongé dans les ondes, me provoquait une somnolence et plus aucune envie d’apprendre, en plus d’un programme peu intéressant de base. »​  -  1/3

Maxime, Gland, Suisse

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